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Le Groupe d'Umani - Kibwezi

Traduction d'après le journal des soigneurs du Sheldrick Wildlife Trust par Laurence Cornet-Noel

 

Dans la forêt de Kibwezi, le mois a commencé par une invasion de buffles. Quatre d'entre eux, tous des mâles, ont élu domicile près du point d'eau et ont même dormi près du tas de poussière des orphelins, comme s'ils revendiquaient toute la zone. Un vieux mâle a refusé de partir, même lorsque les gardiens sont arrivés avec le camion de lait, nous amenant à nous demander ce qui se passerait lorsque les éléphants arriveraient pour leur biberon de midi.

Traduction d'après le journal des soigneurs du Sheldrick Wildlife Trust par Laurence Cornet-Noel

 

Dans la forêt de Kibwezi, les orphelins d'Umani et leurs gardiens étaient en pleine célébration de la nouvelle année. Pour marquer la fête, les bébés ont reçu de la verdure et des granulés spéciaux, différents de leur nourriture habituelle. Mwana, le petit bébé jovial, voulait goûter à tout ce qu'elle voyait manger à ses amis. Il est difficile de croire que son premier anniversaire approche à grands pas !

Traduction d'après le journal des soigneurs du Sheldrick Wildlife Trust par Laurence Cornet-Noel

 

Le mois commença avec Maktao qui s'ingénia à imposer des jeux à son meilleur ami. Le matin, très innocemment, il enroula sa trompe autour de la queue de Kiombo et tira très fort. C'était une tactique intelligente pour offenser Kiombo, afin qu'il réagisse et commence à pousser Maktao. Cependant, le plan n'a pas fonctionné et Kiombo l'a ignoré avec diligence. Il n'est pas prêt à jouer.

Traduction d'après le journal des soigneurs du Sheldrick Wildlife Trust par Laurence Cornet-Noel

 

Mwana avait deux objectifs ce mois-ci : apprendre à jouer de la trompette et chasser tous les babouins de l'enceinte d'Umani. Si le premier objectif a nécessité un peu d'entraînement, le second a été très facile à atteindre, grâce au soutien du troupeau. Chaque fois que les orphelins voyaient Mwana poursuivre les babouins, ils rejoignaient leur petit général et chargeaient les primates sur tous les fronts. Inutile de dire que les babouins se sont prudemment faits discrets.