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Il est né en 1979 et a été nommé par l'Amboseli Trust for Elephants bien avant qu'il ne devienne l'un des plus grands éléphants du Kenya.
Un "big tusker" ou "super tusker" est un éléphant dont les défenses pèsent plus de 45 kg chacune. Très peu de populations sont encore porteuses des gènes permettant d'obtenir des défenses aussi énormes, et les individus qui en sont pourvus sont extrêmement vulnérables au braconnage pour leur ivoire. Au plus fort de la dernière crise du braconnage des éléphants, les défenses d'Ulysse auraient valu la somme stupéfiante de 200 000 dollars ou plus sur le marché de l'ivoire en gros.
Grâce à la protection des gardes forestiers de Big Life et du Kenya Wildlife Service, Ulysse a survécu aux pires moments du braconnage de l'ivoire, mais il a été confronté à une autre menace : le conflit homme-faune. À deux occasions différentes, il a été transpercé par des fermiers en représailles à des attaques de cultures, avant la construction de la clôture de protection des cultures de Big Life.
À ces deux occasions, en 2016 et 2018, il a été soigné avec succès et depuis, il erre dans Amboseli, ravissant ceux qui ont la chance de le voir et s'occupant largement de ses propres affaires.
Très tristement, Ulysse est décédé à la fin du mois de mars. À 43 ans, ce n'est pas la vieillesse qui l'a tué, puisque les éléphants peuvent vivre jusqu'à 60 ans. La cause exacte du décès n'a pas pu être déterminée par KWS, mais sa mort semble avoir été naturelle. Bien qu'il puisse sembler étrange de la décrire ainsi, la mort naturelle d'un animal (plutôt que par la main de l'homme) doit être considérée comme un succès.
Ses défenses ont été récupérées et pesaient respectivement 51 et 47 kg. L'apparence n'est pas tout et le fait d'avoir de grosses défenses ne rend pas un éléphant plus important qu'un autre mais, en tant que l'un des plus gros défricheurs d'Afrique, la présence géante d'Ulysse dans les plaines d'Amboseli nous manquera certainement.

 

Traduit de l’anglais par Maeva Kohler.

 

 

 Certaines choses tuent rapidement les éléphants, comme la balle d’un braconnier, d’autres lentement… comme l’avocat.

D’autres produits de luxe de l’agro-industrie internationale, comme le haricot vert, le petit pois et le pois mange-tout sont tout aussi meurtriers. Les profits sont grands, et l’argent l’emporte haut la main sur les éléphants et les communautés locales. Rien ne ralentira ces entreprises dans leur implacable avancée au cœur des pâturages luxuriantes du Kenya.

Les bulldozers sont en approche. Nous le savons parce que nous en avons été témoin.

En l’espace de quelques jours, les machines ont défriché plus de 180 acres d’habitat naturel, faisant table rase pour accueillir ses futurs habitants : les avocatiers.

L’écosystème du Grand Amboseli fait face à un nouveau défi, dont les enjeux pourraient être encore plus dévastateurs que le braconnage, alors que les rangers de Big Life avaient si bien réussi à le réduire ces dernières années.

Tout a commencé dans le Corridor Faunique Kimana, une zone essentielle où les emblématiques éléphants mâles d’Amboseli pâturent plusieurs mois de l’année. C’est l’unique route restante permettant aux animaux sauvages de se déplacer entre Amboseli et la partie australe du Parc National de Tsavo Ouest.

Sous la pression de la communauté locale et de groupes de conversation, l’Autorité nationale de gestion de l’environnement avait annoncé son intention de geler l’activité agricole. L’affaire ayant fait l’objet d’un appel, elle est désormais en cours d’instruction devant le Tribunal environnemental du Kenya.

La victoire de l’entreprise agricole laisserait le champ libre aux promoteurs dans leur course à la destruction de l’environnement unique qu’abrite Amboseli, classée réserve de biosphère de l’UNESCO, l’une des rares cinq réserves présentes au Kenya.

Il faut noter qu’une autre exploitation agricole située à proximité avait obtenu l’autorisation de se développer sur 120 acres l’année passée et qu’elle s’est depuis étendue sur plus de 540 acres supplémentaires.

La faune sauvage du Kenya est en forte baisse, et Amboseli est l’un des derniers endroits du pays où l’on trouve une population d’éléphants en bonne santé, incluant les quelques rares derniers éléphants à larges défenses et les populations en plein essor d’espèces comme le lion, la girafe et le guépard. Il y a beaucoup de terres arables disponibles au Kenya, terres d’ores et déjà dépossédées de toute vie sauvage. Pourquoi détruire l'un des derniers endroits d'Afrique de l'Est où les troupeaux d'éléphants évoluent encore en liberté ?

Ces développements agricoles représentent aussi des menaces directes pour les êtres humains. L’écosystème du Grand Amboseli possède une industrie de conservation et d’écotourisme qui soutient des milliers d’emplois et génère des dizaines de millions de dollars pour l’économie locale et nationale.

Personne ne se rend en Afrique pour admirer des champs d’avocatiers.

Les mois et années à venir seront décisifs. L’écosystème compte principalement un grand regroupement de ranchs appartenant aux communautés locales, qui ont toujours permis aux animaux sauvages, bétails et humains de se déplacer librement. Cette possibilité de se déplacer au fil des saisons à la recherche de nourriture et d'eau, sur d'anciens sentiers migratoires, est essentielle à la survie des animaux sauvages.

Mais la pression pour le morcèlement des terres grandit, et le passage d'un environnement géré par les communautés locales à des terres privées tenus par des particuliers risque de faire voler l'écosystème en éclat, en dizaines de milliers de petites parcelles de 20, 40 et 60 acres.

Ces petites parcelles seront ensuite vendues et transformées en vue d’autres utilisations, les animaux se retrouveront à court d’espace, et la vie sauvage de l’écosystème du Grand Amboseli sera décimée.

Préserver l’écosystème dans son état actuel sera difficile. Heureusement, il est encore possible de protéger des corridors fauniques et des zones de dispersion clés qui permettraient de maintenir une vie sauvage équivalente. Par contre, si l’on n’agit pas dès maintenant, l’entier de l’écosystème risque de s’effondrer.

Dans le passé, Big Life a réussi à lutter contre le braconnage et s’est attaqué avec succès aux conflits humains-faune.

Nous arrivons maintenant à l'essentiel du problème : l'espace

Des centaines de rangers patrouillant à la recherche de braconniers et de longues clôtures pour réduire les interactions entre éléphants et fermiers, ou tout autre combat de Big Life sont vains s’il n’y a plus d’habitat naturel pour les animaux sauvages au sein de cet écosystème si exceptionnel.

Sécuriser les corridors fauniques et les zones de dispersion est la tâche la plus urgente pour Big Life, et il n'y a pas de temps à perdre.

La préservation des terres peut être une solution gagnante-gagnante pour tous, que ce soit pour les animaux, mais aussi pour les communautés locales. Et cela s’inscrit dans l’approche holistique que nous avons toujours adoptée.

Le leasing, ou crédit-bail foncier, est une piste pour atteindre cette réciprocité. Il permettrait aux Maasaï de conserver leurs droits de propriété, de limiter ainsi le morcèlement et conversion des terres, tout en assurant un revenu aux propriétaires terriens.

Ce modèle maintient l’état naturel des terres, qui restent accessibles à la faune sauvage et au bétail, tout en permettant des revenus aux propriétaires fonciers. En plus, les emplois dans l’écotourisme et la conservation vont de pair avec un habitat et une faune sauvage protégés.

L’idée de paiement en échange de services écosystémiques n’est peut-être pas particulièrement attrayante en soit, mais est absolument nécessaire pour la survie des animaux sauvages et des écosystèmes dans l’Afrique en pleine accélération et en plein essor démographique du 21ème siècle.

Au fil des décennies, Big Life a protégé avec succès près de 1.6 millions d’acres au sein de l’écosystème du Grand Amboseli, ainsi que sa vie sauvage. Et vous avez été à nos côtés pour nous aider dans cette tâche.

Notre succès réside dans notre capacité à adapter et à concevoir des solutions innovantes face aux défis de conservation, solutions qui prennent en compte à la fois les personnes et la faune, et nous continuerons à agir en ce sens.

Big Life continuera à protéger les habitats naturels les plus importants de l'écosystème en :

Créant des partenariats avec les communautés locales lors du processus de circonscription afin d’identifier et protéger les zones essentielles à la faune sauvage et au bétail,

Concevant, négociant et gérant des baux fonciers mutuellement avantageux dans les zones foncières critiques,

Travaillant avec des partenaires du secteur privé afin de créer des opportunités inclusives pour l’écotourisme et de générer des sources de revenus supplémentaires pour les propriétaires fonciers.

Toutefois, des projets de cette envergure sont trop conséquents pour s’y attaquer seuls.

C’est avec une grande générosité que la Fondation D.N. Batten s'est engagée à doubler les dons récoltés, jusqu'à un montant de 100’000 $. Cela signifie que l’impact positif de votre soutien sera doublé. Le futur de ce paysage irremplaçable, de sa vie sauvage et de ses populations vit un moment crucial. Rejoignez-nous et faites un don.

Malgré les bouleversements présents et à venir, notre mission restera la même : protéger la nature pour le bénéfice de tous dans l'écosystème du Grand Amboseli.

Avec toute notre reconnaissance,

 Nick Brandt et Richard Bonham/Big Life

Photos creditent Big Life

https://biglife.org/program-updates/big-life-news/how-many-elephants-is-an-avocado-worth

 

 

 

 

 

 

 

 

   
   
   
   
   
   
   
   
   
   

1 .Nous avons été reconnu comme station protection de pangolins. Nous avons reçu des Pangolins qui ont été trafiqués du Mozambique au Malawi pour le commerce illégal des espèces sauvages.  Deux ont été gravement blessés alors nous les avons soigner. Les deux vont bien et nous espérons pouvoir les libérer bientôt.

2. Nous avons prolongé la ligne de clôture de 16 km supplémentaires, ce qui est une bonne nouvelle. Nous avons également renforcé nos patrouilles dans cette nouvelle zone qui ce trouve en Forêt de Dedza Salima, créant ainsi une zone plus protégée pour le déplacement des Éléphants

Décembre 2020 a vu la 3e année consécutive avec zéro perte d'éléphants braconnes.

Nous nous en réjouissons.

3.Nous avons mis des colliers à 3 éléphants  pour surveiller leurs mouvements et également pour une protection supplémentaire.

4.Ici, la situation Covid est difficile. Nous avons aidé tous nos projets communaux ainsi que les écoles, en fournissant conseils, savon et masques pour tout notre personnel et leurs familles.

5.Nous avons augmenté nos rangers de 31 à 42 l'année dernière et ils travaillent vraiment bien.

Il y a beaucoup de nouveaux animaux qui arrivent et tous les troupeaux grandissent. C'est tellement encourageant.

Nous envoyons tout notre amour

Lynn (Directeur)

Merci de soutenir ce projet avec un don.

Virement :

"Sauvez les éléphants d'Afrique" Crédit Agricole du Languedoc 30130 PONT ST ESPRIT
Banque : 13506 Guichet : 10000
N° compte : 85107963389 Clé 23
IBAN FR76 1350 6100 0085 1079 6338 923    BIC AGRIFRPP835

Objet: Thuma Reserve/Malawi

 Chèque :

Laurence Cornet-Noel

Sauvez les éléphants d’Afrique/France

Residence Welcome

01 Avenue Kennedy

F-30130 Pont Saint Esprit

Objet : Thuma Reserve/Malawi

 

 

 fondé en 1994, est une organisation non gouvernementale à but non lucratif qui travaille dans la conservation et la gestion de la nature dans la région centrale du Malawi.

    

Protection de la faune et de l'environnement

Ses principaux objectifs sont de protéger la faune et l'environnement du Malawi, et d'aider et de soutenir le gouvernement du Malawi dans la protection des parcs nationaux, du gibier et des réserves forestières.

Le premier projet principal de W.A.G. est le projet de réhabilitation de l'écosystème de la réserve forestière de Thuma qui a débuté en 1996. Avec son approche directe de la conservation, W.A.G. a réussi à transformer cette réserve autrefois fortement braconnée en un havre de paix pour la faune de la région, les densités actuelles d'éléphants n'étant que la deuxième après Liwonde N.P ..

Le deuxième projet principal de W.A.G. est le projet de réhabilitation de l'écosystème de la réserve forestière de Dedza-Salima qui a débuté en 2007. À travers ce projet, W.A.G. est déterminé à obtenir les mêmes résultats de conservation positifs chez Dedza-Salima F.R. comme cela a été réalisé dans Thuma F.R ..

Travail et présence scout: conservation active des éléphants d'Afrique

La menace la plus immédiate pour la plupart des populations d'éléphants au Malawi est la chasse illégale à l'ivoire. Et WAG travaille en étroite collaboration avec DNPW et d'autres agences gouvernementales pour assurer l'application effective de ces lois. Cette activité réduira non seulement les opérations des exploitants illégaux de forêt / faune qui sont poursuivis, mais au fur et à mesure que la sensibilisation se répandra, elle agira comme un moyen de dissuasion et réduira le niveau global de la chasse et du commerce illégaux.

Cependant, les activités illégales incontrôlées dans les deux réserves (principalement le braconnage, le brûlage de charbon de bois et la récolte illégale de bambou et de bois) menaçaient de détruire ses précieux habitats et les services environnementaux qu'il fournit à la région et à la nation, c'est pourquoi notre travail et notre présence scouts sont importants.

 

Ce que nous faisons :

La tâche principale des scouts et autres membres du personnel de terrain est de protéger  la faune.

La plupart des ONG travaillant dans le domaine de la conservation reçoivent des fonds pour démarrer des micro-projets dans les villages, pour installer une clôture électrique pour empêcher les éléphants d'entrer dans les champs des agriculteurs, pour installer des panneaux de direction, pour acheter des GPS pour cartographier les ressources forestières naturelles, pour des projets de sensibilisation à la conservation etc. La plupart des gens reconnaissent que ces activités sont extrêmement importantes pour la conservation, et nous aussi, en même temps, il n'y a souvent pas de financement disponible pour payer le personnel, qui est crucial pour faire tout ce travail.

Et encore plus important, et là où tout commence par, la tâche principale des scouts et autres membres du personnel de terrain est de protéger et de sécuriser la faune dans la réserve; les micro-projets et les panneaux de direction sont bien sûr totalement inutiles, alors que dans le même temps, la faune d'une réserve est braconnée jusqu'à l'extinction en raison du manque de personnel de terrain.

Le Malawi, le cœur chaleureux de l'Afrique, ses habitants et sa faune ont besoin et méritent le dévouement de tous ceux qui peuvent faire cette différence positive!

                                                                                 

 

  https://www.wildlifeactiongroupmalawi.org

 

Au début de mois juillet 2020, les gardes d’Élephants Aware surveillaient un éléphanteau orphelin et un éléphant mâl blessé qui ont tous deux été aidés heureusement. La mère du jeune est décédée et  aprés sauvetage, d’orphelin  a été  transporté a la Nursery de DSWT.

 

   

       

 

L’élephant blessé à la lance et à la flèche a été soigné avec succès.

  

Phots crediten d'Elephant Aware

 

 

https://elephantawareblog.wordpress.com/category/uncategorized/

Le mois de novembre a été très sec dès le début, après des mois de sécheresse qui ont sévi dans la région. Cela a entraîné la faune sauvage et en particulier des espèces telles que les éléphants à s’aventurer dans les villages communautaires à la recherche d’eau.

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L’adorable Nosentui et sa horde ont récemment été repérés par notre patrouille ! Il s’agit d’une femelle que nous avons appris à bien connaître depuis plusieurs années et nos rangers la reconnaissent instantanément. Cela rend le temps passé avec cette famille d’éléphants encore plus spécial, et qui est également d’une importance capitale pour le travail des rangers et essentiel pour tirer un meilleur enseignement des schémas de mouvements de Nosentui, de ses congénères et amis, et offre en retour à notre équipe une meilleure vision des zones à protéger en priorité. Avec nos partenaires, Elephant Aware est actif à aider à la protection de la population d’éléphants du Mara.

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Plusieurs espèces de girafes ont désormais été désignées comme en danger critique par la Liste Rouge de l’IUCN des espèces et sont proches de l’extinction. Les girafes ont besoin que des mesures de protection drastiques soient mises en place pour leur assurer un avenir dans le monde sauvage. S’il vous plaît, où que vous soyez, rejoignez-nous dans le combat pour sauver cette espèce. Il faut agir maintenant – parlez-en, apportez votre soutien, signez des pétitions, alertez l’opinion publique et faites savoir au monde entier que les girafes sont importantes pour notre planète.

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Le 22 novembre Elephant Aware, l’Unité Mobile Vétérinaire du Mara, les équipes de Siana Conservancy et le Kenya Wildlife Service ont, ensemble, passé de nombreuses heures à tenter de sauver cette femelle éléphant tombée dans une rivière. Il a assez vite été évident qu’elle avait été sérieusement blessée par trois flèches empoisonnées et il semble qu’elle soit tombée depuis un bord abrupt de la rivière, certainement au cours son agression, ce qui l’a en partie paralysée au point qu’elle ne pouvait plus bouger du tout ses pattes arrière.
Les efforts démesurés pour la sortir de là et la remettre debout sur ses pattes, afin de lui sauver la vie, ont été vains, et il a été décidé d’euthanasier cette pauvre bête afin de lui éviter encore plus de souffrance - une décision qui a été très difficile à prendre.
Tous les éléments ont pointé vers une tentative de braconnage qui a fini par infliger une mort cruelle à cette éléphante. Il va sans dire que cet incident tragique nous a tous brisé le cœur et nous remercions tous ceux qui ont mis tous leurs efforts pour tenter de sauver cette éléphante, ainsi qu’ils le font pour toutes les espèces sauvages qui ont besoin d’aide. Les rangers vont continuer à patrouiller dans cette zone clé reculée afin d’essayer de trouver les coupables, dans un effort conjoint avec les autorités. Nous espérons que cette magnifique femelle, qui nous aura tellement marqués, est désormais en paix, et restera certainement toujours dans nos mémoires alors que nous mettons ensemble tant d’efforts pour protéger son espèce.

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Les rangers font un rapide “briefing” tôt ce matin au début de leur longue patrouille à pied et de leur opération de surveillance à travers les collines qui font partie d’un couloir clé de la faune sauvage. Ces rangers, en compagnie de leurs équipes de soutien, couvrent des kilomètres à pied tous les matins dans le cadre de leur travail quotidien, et ils peuvent être félicités de leurs efforts incroyables à la protection quotidienne de la faune sauvage.

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Vers la fin du mois, les rangers ont été très occupés comme d’habitude à surveiller au quotidien les multiples hordes d’éléphants, et à travailler avec les membres de la communauté afin de prévenir les conflits entre humains et éléphants. Il s’agit d’une tâche quotidienne pour nos équipes et qui est d’une importance vitale pour assurer l’avenir des éléphants et des autres animaux sauvages de l’écosystème du Mara.

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Le projet Elephant Aware existe depuis presque 10 ans, bien que le travail de conservation à Siana ait officiellement commencé en 2007. Nous sommes fiers de vous dire que notre équipe a atteint des objectifs fantastiques. Nos résultats opérationnels quotidiens se sont énormément développés et, par notre travail, nous avons été plus à même de mieux aider les communautés et avons amélioré la sécurité de la faune sauvage dans la région.

Traduction:Nathalie Kohler

 

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Le premier trimestre de 2018 tire à sa fin et 2018 a été jusqu'à présent plein d'actions.

En Janvier nous étions occupés à mener des enquêtes sur les orchidées. Nous sommes ravis de pouvoir montrer nos découvertes dans ce bulletin.

Le mois de février a débuté par un cours de recyclage pour les gardes forestiers et le départ de Chakuse (le sens du clan des éléphants), un énorme èléphant mâle qui a été identifié comme le coupable ayant percé la clôture pour attaquer les récoltes.

Nous avons également effectué une évaluation de la réintroduction avec le ministère des Parcs nationaux et de la Faune afin d'évaluer si nous pouvions réintroduire des espèces qui étaient à Thuma mais qui ont disparu depuis de nombreuses années à cause du braconnage.

(traduction, Nicole Kohler)

Chers donateurs, amis et soutiens,

Les jours froids et venteux s’éloignent et le soleil se lève le matin pour devenir de plus en plus brûlant et vous donner l’impression que votre cerveau va griller comme dans une poêle à frire.

La forêt est desséchée, les animaux sont plus faciles à repérer et il n’est plus possible de marcher ou conduire sans voir d’animaux sauvages. Les éléphants sont partout et se dirigent actuellement vers des zones auparavant habitées par les brûleurs de charbon.

Alors que nous reprenons possession de ces zones, nous découvrons de nouvelles merveilles de la Forêt de Thuma, d’incroyables vallées et des paysages à couper le souffle et, malgré l’épouvantable déforestation, nous savons que cette zone va se régénérer et que la forêt retrouvera tout son éclat.

La plupart des cours d’eau sont toujours alimentés, mais les rivières plus importantes ont un niveau très bas et le Lac Malawi a perdu un mètre.

Les derniers mois ont été très chargés – prévention des feux de brousse dans les deux parties de la zone, patrouilles, arrestation et poursuites judiciaires, de nombreux volontaires nous ont rejoints, identification d’éléphants, participation à la première Expo Tourisme du Malawi et beaucoup d’activités communautaires et éducatives.

001 Thuma News 09.2017

La réputation des chiens pisteurs de Big Life/Kenya s’est répandue et ils sont souvent amenés à rendre dans les parcs nationaux pour venir en aide aux opérations du KWS(Kenya Wildlife Service) et dans d’autres parcs privés … Ils valent de l’or et l’histoire qui suit en est bien l’illustration.

L'un des outils les plus efficaces pour lutter contre le braconnage est de dissuader les braconniers avant même leur entrée dans une zone. À cet égard, il n'y a pas d'outil plus efficace que les chiens traqueurs. Même si les braconniers ne sont pas neutralisés avant d’avoir commis leur délit, ils seront sans aucun doute après grâce aux les chiens. Ils ne peuvent pas s'en sortir.

L’unité des Chiens pisteurs du Kilimanjaro a vu le jour en octobre 2011 avec deux chiens et une équipe de quatre maîtres-chiens. Les chiens ont été achetés et formés par le Canine Specialist Services International CSSI (Services Spécialisés Canin International) à Arusha, en Tanzanie, afin de pister les braconniers dans les zones des projets de Big Life Amboseli Kilimanjaro. Les maîtres-chiens ont été sélectionnés parmi un groupe de rangers de la communauté locale et également par le CSSI.

J'ai été invitée par les Rangers du projet Chiens pisteurs à une formation en brousse de 5 jours avec la Big Life Foundation à Amboseli, au Kenya. Ce projet est l'un des nombreux projets soutenus par la Big Life Foundation. Les chiens ont déjà eu l’occasion de se mettre à la poursuite des braconniers. Ils sont également mis à contribution quand un enfant est perdu dans le village. Une bonne coopération est ainsi créée avec les villageois.


Clyde, Bonnie, et Didi m'ont montré ce qu'ils pouvaient faire.

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